Une maison

Sur cette carte postale, datée de 1928, et que nous devons à la famille Rotger de la ferme Monjo, on voit à gauche la maison d'Antoine Stallano, mon arrière grand-pére et où je suis né. Il n'y avait pas encore la maison à gauche et aucune maison en face !

 

      Sur cette carte postale, que nous devons à l'amabilité du fils du dr Bichelberger, on voit bien le café et, devant la tonnelle : un couple, sans doute Antoine Stallano et Marguerite Pons.

 

C'est la maison qu'avait construite Pietro Pierre Stallano, ce fut un café puis une épicerie jusqu'en 1957.

1950, c'est au premier étage de cette petite maison que je suis né, au début du printemps, le jour où la course cycliste du tour d'Algérie a traversé le Cap Matifou.

Derrière la maison, dans le jardin trônait un énorme figuier qui produisait d'excellents figues noires deux fois par an. Le jardin était animé par les nombreux pigeons que mon père élevait, en plus des chardonnerets que nous allions attraper à la glu dans la forêt de Baïnem.

1942, avant de partir à la guerre, Michel retrouve sa fiancée Andrée à Alger-Plage, le pique-nique est apporté sur une voiture à cheval, qui transporte aussi ceux qui n'ont pas ou ne savent pas faire du vélo.

 

 

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